Pour saisir la complicité des médias américains, European et Suisse dans les activités génocidaires actuelles et passées menées par le groupe d’apartheid sioniste en Palestine, veuillez visionner la vidéo suivante :
Un exemple notable de partialité médiatique à l’échelle internationale : BBC – UK
La BBC face au défi de l’impartialité : entre accusations de partialité et réformes médiatiques
Un exemple notable de partialité médiatique à l’échelle internationale concerne certains médias au Royaume-Uni. Ces derniers ont été critiqués pour leur couverture du conflit israélo-palestinien, où les récits et les reportages semblent souvent pencher en faveur d’une des parties, laissant peu de place à une représentation équilibrée des faits et des perspectives palestiniennes. Cette orientation a suscité de vives discussions sur l’impartialité des grands médias britanniques et leur influence sur la perception publique des événements internationaux.
La question de l’impartialité des médias est cruciale dans le paysage de l’information actuel, et la British Broadcasting Corporation (BBC), reconnue mondialement pour son journalisme, se retrouve au cœur d’une polémique liée à sa couverture des événements, notamment le conflit Israël-Hamas (PALESTINE). La secrétaire d’État à la Culture a mis en garde contre une perte de confiance du public, soulignant une perception croissante de partialité qui menace l’institution vénérée pour son indépendance éditoriale et opérationnelle.
La perception de partialité est un sujet complexe, souvent influencé par les positions personnelles des téléspectateurs vis-à-vis des sujets traités. Cette complexité est exacerbée dans le contexte des conflits géopolitiques, où les enjeux sont particulièrement sensibles. L’exemple cité par la secrétaire d’État, où une attaque sur un hôpital à Gaza fut initialement attribuée à un raid aérien israélien avant que des renseignements occidentaux ne suggèrent une roquette palestinienne mal dirigée comme cause probable, illustre parfaitement cette difficulté à maintenir une couverture équilibrée.
Le gouvernement britannique, tout en se concentrant sur la perception de partialité par le public, semble reconnaître les défis inhérents à cette approche. L’importance accordée aux perceptions, bien qu’elle ne reflète pas nécessairement la réalité, souligne l’impact significatif de ces dernières sur la confiance et la crédibilité des institutions médiatiques.
Les discussions sur l’impartialité de la BBC s’étendent au-delà des couvertures spécifiques pour toucher à la régulation et à la gouvernance de l’organisation. L’idée de renforcer le rôle d’Ofcom, le régulateur des médias britanniques, dans la supervision des services numériques de la BBC, témoigne d’une volonté de répondre aux critiques par une régulation plus robuste et adaptée à l’ère numérique.
La polémique entourant la couverture du conflit Israël-Hamas (PALESTINE) par la BBC, où des perceptions de partialité divergentes ont été rapportées tant dans la communauté juive britannique que parmi le grand public, reflète la difficulté de couvrir de manière équilibrée des sujets hautement polarisés. L’enjeu pour la BBC, comme pour toute institution médiatique, réside dans sa capacité à naviguer ces eaux tumultueuses sans compromettre son intégrité ou sa mission d’information.
Les débats sur la partialité et la couverture médiatique ne se limitent pas à la BBC ni au Royaume-Uni ; ils sont représentatifs d’un défi plus large auquel sont confrontés les médias à l’ère de l’information. La recherche d’une solution passe non seulement par la réflexion sur les processus éditoriaux et les cadres de régulation, mais aussi par une compréhension plus profonde des dynamiques de perception et de confiance entre le public et les médias.
Un exemple notable de partialité médiatique à l’échelle internationale : le journal de “La Liberté Fribourg, Suisse” ou le TSR Suisse
Sous le Feu des Critiques: La Quête d’Impartialité dans le Paysage Médiatique Suisse
Le paysage médiatique en Suisse, composé de chaînes de télévision et de journaux nationaux, traverse également une période de remise en question quant à son impartialité et sa représentation fidèle de la réalité. De manière récurrente, une partie de ces médias est critiquée pour son orientation partiale, notamment en ce qui concerne les récits relatifs aux Forces de Défense Israéliennes (IDF). Cette inclination à suivre une ligne éditoriale particulière soulève des questions sur l’équité et l’équilibre dans le traitement de l’information, essentiels à une démocratie saine.
Un cas particulièrement révélateur concerne le journal “La Liberté” de Fribourg, qui a été pointé du doigt pour avoir omis de couvrir un événement d’importance locale. En 24 Mars 2024 , Malgré la mobilisation de plus de 1’400 personnes dans une manifestation à Fribourg, cet événement majeur pour la communauté locale n’a pas trouvé sa place dans les pages du journal. Cette omission interroge sur les critères de sélection des informations relayées au public et sur la possibilité d’un biais dans la représentation des événements au sein de la communauté.
Cet exemple illustre la complexité et les défis auxquels sont confrontés les médias dans le respect de leur mission d’informer de manière équitable et exhaustive. La nécessité d’une réflexion profonde sur les pratiques journalistiques et la responsabilité éditoriale est impérative pour restaurer la confiance et assurer une information de qualité, reflétant fidèlement la diversité des perspectives et des événements qui animent la société.
La missive ci-après a été adressée au TRS pour accuser la complicité du média de service public, du fait de sa manière de couvrir le massacre actuel sans aucun réponse de la TRS:
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Lettre ouverte adressée à la RTS
À qui de droit
Lors de la manifestation en soutien au peuple palestinien du 14 octobre 2023 à Genève, la colère des citoyen-e-s a été largement exprimée. Devant les locaux de la RTS, des milliers de personnes ont dénoncé la complicité du média de service public en raison de sa couverture médiatique du massacre en cours. (information qui n’a d’ailleurs pas été relayée dans le compte rendu de la RTS). Comment en est-on arrivé là ? Comment expliquer ce ressenti de citoyens à l’égard de la RTS?
Nous sommes frappé-e-s par la manière dont la RTS a traité avec partialité les événements de ces derniers jours et a contribué à la mise en place d’un cadre narratif inquiétant. Aujourd’hui, nous soussigné-e-s, vous demandons un rééquilibrage de la façon dont la RTS traite les événements en cours, et une restauration des principes éthiques et déontologiques de votre profession.
Alors qu’Israël rend le travail journalistique de terrain presque impossible en empêchant quiconque de s’approcher de la bande de Gaza, que son armée a délibérément pris pour cible des journalistes depuis de nombreuses années et particulièrement ces derniers jours à Gaza et au Sud-Liban, nous sommes conscient-e-s que le travail de vérification journalistique est rendu particulièrement difficile.
Ces difficultés à faire remonter les informations du terrain, n’empêchent aucunement de rappeler le contexte d’occupation, de se renseigner sur la réalité du mouvement national de résistance palestinien et des différentes factions qui ont pris part depuis le 7 octobre à l’opération “déluge d’Al Aqsa”.
À rebours de ce travail journalistique, nous sommes effaré-e-s d’entendre les propos de Stéphane Amar, correspondant sur place à Jerusalem et qui, à ce titre, devrait être informé correctement. Malheureusement, nous constatons qu’à plusieurs reprises il a fauté gravement à son devoir de journaliste, relayant des faits erronés dans ses commentaires, notamment lors de l’émission Infrarouge du 11 octobre dernier. La partialité flagrante de Stéphane Amar apparaît à chacune de ses interventions, il est regrettable qu’il soit présenté comme spécialiste de la région alors qu’il ne fait que servir, souvent à l’aide d’informations fausses ou non vérifiées, les intérêts d’Israël.
L’utilisation des termes tels que “terroriste” (qui n’a pas de définition juridique claire) et “barbare” (terme à connotation coloniale), l’anonymisation des victimes palestiniennes, voire leur déshumanisation, participe à la mise en place d’un cadre narratif effrayant pour toutes les personnes attachées au droit à la vie. Il est rarement rappelé que le gouvernement israélien est le plus extrémiste de son histoire, et qu’il compte en son sein des ministres ouvertement fascistes qui appellent à l’éradication des palestiniens, qu’Israël a violé depuis 1947 à plus de 100 reprises le droit international, que son régime a été qualifié d’apartheid par plusieurs ONG internationalement reconnues, et que cet État continue une politique de colonisation au mépris du droit international. Le manque de impartialité est en lien direct avec le manque de connaissances des sujets traités. C’est une faute d’éthique journalistique grave qui a des conséquences matérielles dans le génocide en cours.
Quand vous abordez enfin les crimes à l’encontre des palestinien-ne-s, vous le faites de manière à exonérer la responsabilité du gouvernement israélien face à ses monstruosités : “selon le Hamas” lorsque l’information provient du ministère de la Santé. Vous n’êtes pas sans savoir que la simple mention du Hamas déclenche un processus de pensée prévisible : Hamas, perçu comme une organisation terroriste, génère de la peur, ce qui réduit la capacité d’empathie et crée une déshumanisation des victimes. Lorsque celles-ci sont palestiniennes, ce ne sont plus des “tués” mais des “morts” dont vous parlez. Vous ne mentionnez pas les auteurs directs de ces actes lorsqu’il s’agit de ceux perpétrés par le régime israélien.
Nous sommes témoins d’un crime contre l’humanité et d’une catastrophe. Israël a réduit en miettes une grande partie de Gaza, coupé l’approvisionnement en eau, en électricité, en nourriture et en médicaments pour 2,3 millions de Palestinien-ne-s, les hôpitaux sont bombardés (absence totale d’un contexte juridique crucial. Le ciblage des infrastructures civiles, telles qu’un hôpital, constitue un crime de guerre en vertu du droit international, fait que vous omettez dans vos articles). Par ailleurs, vos confrères et consœurs sont tuées en huis-clos pour laisser le moins de traces possibles.
À l’heure où nous écrivons ces lignes, les palestiniens comptent et identifient les morts suite au bombardement de l’hôpital Al-Ahli Arabi du 17 octobre 2023. À l’heure où nous écrivons ces lignes, le monde est en deuil. À l’heure où nous écrivons ces lignes, nous sommes angoissé-e-s quant à la couverture médiatique qu’aura ce massacre. Israël aurait bombardé une base du Hamas dans l’hôpital? Serait-ce une roquette perdue du Hamas? Une offensive en réponse au déluge d’Al-Aqsa dans la guerre Hamas – Israël? Ou une continuité du génocide du peuple palestinien? Les mots que vous choisirez écrivent l’histoire et influent sur la suite des évènements.
À l’heure de l’envoi de ce texte, vous avez choisi votre version: « L’armée israélienne a attribué mardi au Jihad islamique palestinien le tir qui a touché l’enceinte d’un hôpital dans la ville de Gaza, faisant au moins 200 morts d’après les autorités locales. ». Pourquoi ne pas prendre en compte le tweet effacé de la porte parole du gouvernement israélien qui confirmait l’attaque israélienne? Pourquoi, nous, citoyen-e-s, sommes nous mieux informé-e-s qu’un media étatique?
Pour reprendre les mots du secrétaire général adjoint aux affaires humanitaires de l’ONU, “le spectre de la mort plane sur ce territoire” sans que les événements soient correctement relayés. Il est de votre devoir d’en informer la population et d’arrêter de présenter ce génocide comme une guerre. Car il viendra un moment où vous serez tenus de rendre compte de votre complicité.
Le traitement du génocide palestinien et des évènements qui ont suivi depuis le 7 octobre tel qu’il a été fait par la RTS est particulièrement choquant. Il s’agit d’une violation des principes de déontologie journalistique et d’un déficit criant du devoir d’informations au plus large public suisse.
Par nos signatures, nous nous indignons et demandons la rectification immédiate du ton et vocabulaire choisis car emprunts de partialité. Nous demandons que cesse le traitement laconique de l’information sur le génocide palestinien tout autant que l’asymétrie criante d’informations entre Israël et Palestine. “